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19. La Bonne Nouvelle de Dieu pour les Malades
TOME 1 - MALADIE ET SOUFFRANCE

PROLOGUE: MALADIE ET SOUFFRANCE: PLAIE OU BENEDICTION?

Mon Expérience Personnelle

Tout comme les êtres humains sont prompts à pécher, ils sont prompts à tomber malades. La maladie est une expérience universelle. Le stress physique et émotionnel de la vie quotidienne affaiblit petit à petit notre corps, si bien que nous perdons facilement notre résistance et succombons aux forces de ce monde qui provoquent des maladies et des infirmités. Les troubles psychosomatiques aussi bien que les maladies organiques se multiplient constamment et augmentent la souffrance. Parfois, ils provoquent une souffrance plus proche de l’agonie que la souffrance générée par la maladie physique.

En certaines occasions, la maladie est bien sûr de courte durée et ne cause qu’une souffrance légère. Le patient peut guérir avec ou sans l’aide des médicaments. En d’autres moments, la maladie est longue et pénible, provoquant des souffrances insupportables; le patient connaît le désespoir et se sent impuissant.

D’où viennent la maladie et la souffrance? Qui/quoi est vraiment responsable des malheurs qui touchent pratiquement tous les hommes en tous lieux, au moins à un certain degré? Si Dieu les permet, pourquoi les permet-Il?

D’un autre côté, si la maladie et la souffrance sont des malheurs, sont-ils uniquement des malheurs? Est-ce possible que, bien que la maladie et la souffrance soient essentiellement catastrophiques et destructrices, elles puissent malgré tout produire la bénédiction? Si oui, comment?

En qualité de médecin et par la grâce de Dieu, j’ai participé au processus de guérison de plusieurs personnes malades et souffrant depuis de nombreuses années. Je me suis ainsi penché sur les questions de la maladie et de la souffrance. Cependant, ce n’est qu’après avoir moi-même subi l’épreuve d’une grave maladie, et après avoir pu établir un rapport entre cette expérience personnelle et ma foi, que j’ai pu découvrir des réponses plus satisfaisantes et comprendre comment Dieu dans Sa grâce et Sa puissance pouvait retirer une bénédiction en notre faveur de nos malheurs humains. A quel prix pour Lui!

Voici mon expérience personnelle.

Je suis né et j’ai grandi dans une famille musulmane, dans un petit village à 200 kilomètres au sud de Bombay (appelé aujourd’hui Mumbai), en Inde. A 23 ans, j’ai terminé l’Université de Bombay avec un diplôme en médecine et chirurgie. Pendant mes études au Collège Grant Médical de Bombay, j’ai rencontré pour la première fois des enseignants et étudiants chrétiens. Les contacts prolongés et fréquents avec ces nouveaux amis ont eu un impact profond et salutaire sur mon esprit et ma conduite. A la sortie de l’université en mars 1958, j’ai assumé la responsabilité de médecin-chef au nouveau Centre de Contrôle de la Lèpre pour le Gouvernement à Savda, à plus de 450 kilomètres au nord de Bombay, où une amie chrétienne m’a offert une Bible. Je lui ai promis de la lire. Ce don précieux allait bientôt transformer ma vie.

A cette époque, je n’étais pas un fervent disciple de l’Islam. Néanmoins, la promesse de lire la Bible faite à mon amie m’a poussé à entreprendre une recherche minutieuse dans le Qur’an et la Bible. Ainsi, une quête de la vérité de plus de trois ans m’a amené aux pieds de Jésus le Messie, et j’ai fini par L’accepter comme Seigneur et Rédempteur, le don de Dieu de Lui-même à ce monde et pour ce monde.

Puis, en 1960, j’ai épousé l’amie qui m’avait offert la Bible et encouragé à l’étudier. En Milly, une infirmière et sage-femme, Dieu m’avait accordé dans sa grâce une compagne pour la vie et une collaboratrice professionnelle. Ensemble, nous avons décidé de proposer un programme d’aide en santé pour notre communauté avec les moyens dont nous disposions. Après avoir pris congé de mon poste au gouvernement en 1963, nous avons fondé une clinique à Dasgaon, un village proche de ma ville natale. Malgré les difficultés, nous avons traité pareillement les riches et les pauvres pendant quatre ans. Une fois par mois, nous visitions notre fille, Shirin, qui avait été admise dans un internat à Poona, à 100 kilomètres de Dasgaon. A Poona, nous avions la possibilité d’adorer Dieu avec de nombreux Chrétiens dans une des églises de la ville. Nous étions reconnaissants pour cette occasion, car cela nous manquait à Dasgaon. Plus tard, nous nous sommes installés à Aurangabad.

Dieu a pourvu à nos besoins et nous avons grandi dans notre foi. Bien que nous exercions la médecine dans un but lucratif, nous ne possédions aucune propriété et n’avions aucun compte en banque. Le Seigneur nous poussait à donner le surplus de nos revenus aux pauvres et à vivre un jour après l’autre. Cela nous a apporté une grande joie, et en plus la bénédiction du Seigneur.

En décembre 1979, des événements particuliers ont bouleversé notre vie. J’ai commencé à ressentir des douleurs; mes glandes lymphatiques ont enflé sous le menton, les aisselles et à l’aine. J’ai pris des antibiotiques pendant une semaine, sans succès. Les examens n’ont rien donné. J’ai décidé de consulter des oncologistes (médecins spécialisés pour le cancer) à l’Hôpital de Bombay. Cette fois, les examens ont révélé une lymphome maligne, un cancer des glandes lymphatiques. Les docteurs ont entrepris un traitement immédiat. Ils m’ont conseillé d’interrompre mon travail pour un temps et de nous installer là où le climat était plus frais pour ma convalescence.

En un mois, la douleur et l’enflure de mes glandes lymphatiques ont diminué, mais les médicaments m’affaiblissaient au point que j’étais incapable de travailler. Nous avons donc déménagé. Je n’imaginais pas que ce n’était que le début de mes épreuves!

Nous avons déménagé à Bangalore au Sud de l’Inde, en pensant que le climat serait plus agréable, mais non! Après deux mois, nous sommes partis pour Belgaum.

J’ai continué à persévérer dans la prière et à suivre le traitement prescrit par les docteurs pendant un an et demi. Puis j’ai fait une rechute. J’ai dû prendre des médicaments plus forts et plus chers. Très rapidement, nos moyens financiers ne nous ont plus permis d’acheter les médicaments. Grâce à Dieu, dès que nos amis d’Aurangabad et d’ailleurs ont entendu parler de notre état critique, ils ont merveilleusement réagi! En deux semaines, nous avons eu assez d’argent pour acheter les médicaments et couvrir nos autres dépenses personnelles pour les six mois suivants.

Un des médicaments, l’Adriablastin, provoquait plusieurs effets secondaires lors des injections faites par mon épouse, comme par exemple une inflammation des veines, tuant le tissu environnant. Mes mains, mes pieds et mes coudes se sont rapidement couverts de cicatrices. Mes veines étaient aussi épaisses que des cordes de nylon. J’ai perdu tous me cheveux.

Les choses se sont aggravées, car un ulcère de 3 centimètres s’est formé sur mon pied gauche. Mon état s’est détérioré et j’ai dû m’aliter.

Comme je croyais que l’ulcère allait se transformer en gangrène, Milly m’a ramené d’urgence à l’hôpital de Bombay où les docteurs m’ont rassuré et prescrit un traitement pour soigner l’infection tout en me conseillant de revenir à l’hôpital une fois l’ulcère guéri pour leur permettre de pratiquer une intervention chirurgicale.

Après trois semaines, j’étais de retour à l’hôpital pour l’opération. Au lieu d’un séjour de trois semaines, j’y restais deux mois, car dès mon arrivée, la blessure s’est gravement infectée à cause d’un virus qui sévissait dans la salle de l’hôpital, ce qui a retardé l’opération.

La greffe a provoqué une souffrance supplémentaire. Après 48 heures, on a changé mon pansement. J’ai reçu un choc en voyant que presque toute la partie inférieure de ma jambe avait été coupée pour la greffe. On m’a administré un produit très cher jour et nuit pendant sept jours dans l’espoir que la greffe prendrait. En vain; le lambeau de peau n’a pas pris. Le pire, c’est que le virus qui sévissait dans la salle s’est attaqué à nouveau à la blessure de mon pied en l’infectant. Cette fois, l’infection a résisté aux antibiotiques.

Les infirmières changeaient mon pansement quatre à cinq fois par jour. A chaque fois, elles le trempaient dans une solution saline avant de le décoller et de l’enlever. Je supportais avec peine ce processus. Mon corps paniquait en entendant le bruit du chariot à pansements qu’on approchait de mon lit. J’ai perdu tout appétit et suis devenu anémique. L’infection s’est propagée dans la jambe. Il semblait judicieux d’amputer la jambe au-dessous du genou le plus vite possible afin de sauver le genou.

De nombreux amis me rendaient visite, entre autres, les missionnaires Paul et Virginia Morris vivant à Bombay. J’avais l’habitude de loger chez eux chaque fois que je devais subir des examens médicaux. Ils m’apportaient la Sainte Cène, des livres et des revues et prenaient soin de moi. Mais ma source principale de réconfort et de force était la Bible. Je lisais chaque verset dans la prière, avec foi et en pensant à la guérison. J’ai appris que Dieu veut que nous soyons en bonne santé (3 Jean 2) et que notre corps est le temple du Saint-Esprit (1 Corinthiens 6:19). En lisant et en priant, j’ai essayé de comprendre ce qui me manquait pour la guérison. Je savais que des centaines de personnes priaient pour moi. Qu’est-ce qui me manquait?

Un jour, en regardant les cicatrices de mes coudes, de mes mains et de mes pieds où j’avais eu les injections – même si les aiguilles étaient très fines – je me suis souvenu des blessures horribles de notre Seigneur Jésus le Messie, dont les mains et les pieds ensanglantés avaient été percés par de gros clous au moment de Sa crucifixion.

En me souvenant des souffrances que le Seigneur avait supportées à ma place et, en fait, à la place de tous les hommes (1 Jean 2:2), j’ai eu honte! Il a donné Sa vie volontairement, par compassion pour l’humanité pécheresse et dans l’obéissance à la volonté du Père céleste. Mes souffrances n’étaient rien comparées aux souffrances que le Fils de l’Homme avait endurées depuis Sa naissance jusqu’à la croix du Calvaire. Il avait vécu en "homme de souffrances", supporté nos infirmités, porté nos maladies. Il avait été insulté, flagellé et torturé, prenant sur Lui la punition que nous méritions afin que nous puissions être pardonnés. Bien que Lui, en tant que Parole éternelle de Dieu, soit un avec le Dieu éternel, partageant la divinité et la souveraineté de Son Père, Il s’est pourtant humilié pour devenir un serviteur obéissant, acceptant même la mort honteuse d’un esclave sur la croix dans la soumission et l’obéissance à la volonté de Son Père (Philippiens 2:6-8). Il a vraiment expérimenté le cri du Psalmiste: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?” (Psaume 22:1). En Jésus le Messie, nous avons la preuve de l’amour illimité de Dieu pour nous! En Jésus le Messie, nous avons la révélation de la nature pécheresse de l’homme, le jugement de Dieu condamnant le péché et le prix que Jésus a payé pour que nous soyons pardonnés. Les paroles du Seigneur à ses disciples me sont revenues à l’esprit: “Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.” (Matthieu 6:10)

Jusqu’à ce jour, je n’avais pas vraiment saisi ce que se soumettre à Dieu et à Sa volonté signifiait vraiment. Le Seigneur m’a poussé à réexaminer ma foi et ma vie de prière, à les comparer à la compréhension biblique de ce qu’elles devraient être et, en fait, à analyser mon intention en les exerçant. J’ai réalisé alors que pour moi, comme pour le Seigneur Jésus, faire confiance à Dieu signifie abandonner totalement sa vie à Dieu et à Sa volonté. En tant qu’enfant de Dieu, je lui exprime mes désirs, sans pour autant lui dicter ce qu’Il doit faire pour moi. Je reconnais que Lui, mon Seigneur, connaît mieux que moi, son enfant et serviteur, ce qui est bon pour moi, que je suis dans ce monde pour discerner et faire Sa volonté. Je dois lui demander de plier ma volonté égoïste pour que je me conforme à sa gracieuse volonté, et non qu’Il conforme Sa volonté à la mienne. Comme il est tentant d’essayer de manipuler Dieu, de lui faire faire des choses à ma manière! Au moment où j’ai réalisé cela, j’ai senti comme si mes épaules se déchargeaient instantanément de la lourde charge que je portais depuis longtemps.

J’avais passé toute la période de Carême à l’hôpital. Milly restait à mes côtés comme un roc solide, forte et ferme dans sa foi, m’encourageant et me remontant le moral. Puis, une semaine avant Vendredi Saint, deux jours avant les Rameaux, en 1982, j’ai abandonné ma vie à la volonté de Dieu. Cette décision, inspirée par l’Esprit de Dieu, a été un moment décisif de ma vie.

Ce matin-là, l’assistant chirurgien était venu me parler de l’amputation. Je l’avais l’autorisé à poursuivre les démarches. L’amputation était prévue pour le lundi suivant.

Lorsque Milly est revenue de la pharmacie, je l’ai informée de ma décision, mais elle ne l’a pas acceptée. Elle croyait que le Seigneur protégerait ma jambe, et elle a refusé de donner son consentement écrit pour l’opération, disant qu’elle continuerait à jeûner et à prier.

Milly a jeûné tout le lendemain. Le soir, des amis sont venus boire le thé avec moi et je leur ai expliqué la raison pour laquelle Milly ne buvait pas.

L’un d’eux a proposé que tous posent leurs mains sur moi et prient (Jacques 5:14-16). On m’a demandé d’introduire la prière. Puis les autres ont prié à leur tour. Leur sincérité était évidente, leurs paroles et leurs larmes le prouvaient. J’ai conclu par ces mots: "Seigneur, que ta volonté soit faite, et non la mienne." C’est alors que quelque chose d’étrange s’est produit! J’ai ressenti une sensation difficile à expliquer. C’était comme si quelque chose ressemblant à un éclair ou un choc électrique avait traversé mon corps, me donnant une sensation de chaleur et de joie. C’était comme si le bandage autour de ma jambe s’était décollé et toute la couche de pus et de croûte s’était enlevée.

Après avoir raconté aux autres ce qui m’était arrivé, nous avons loué Dieu ensemble. Une heure plus tard, en changeant le pansement, l’infirmier a défait le nœud et ôté le bandage sans difficulté, et sans l’aide de la solution saline. Il n’y avait presque plus aucune trace de pus, à part sur un tendon. Tout l’endroit était rose, la peau s’était cicatrisée et on pouvait tenter une nouvelle greffe.

Le lundi, le jour de l’opération, le chirurgien-chef a défait lui-même le bandage et examiné la blessure, ne pouvant pas croire le rapport de l’infirmier. Il a souri tout émerveillé et dit qu’il tenterait une nouvelle greffe le lendemain.

Je suis sorti de l’hôpital quelques jours plus tard. Je devais marcher avec des béquilles pendant deux semaines, puis avec une seule béquille pour deux semaines encore. Mais le Seigneur a agi de façon si merveilleuse qu’après une semaine seulement, j’ai laissé mes béquilles et marché avec une canne pendant trois jours.

J’ai cependant continué à boiter. Un dimanche, au culte, le pasteur m’a prié de venir lire les Ecritures. En marchant en direction de la chaire, j’ai soudain arrêté de boiter! Le Seigneur avait achevé le processus de guérison.

Mon corps était autrefois rongé par le cancer; aujourd’hui il est guéri. Depuis février 1982, je ne prends plus aucun médicament contre cette maladie.

Un jour, j’ai même pensé perdre ma jambe; aujourd’hui je me tiens fermement debout sur mes deux pieds.

Je pensais alors ne plus pouvoir pratiquer la médecine; aujourd’hui, grâce à Dieu, je guéris les malades à Aurangabad.

Autrefois, ma foi était faible et fragile; maintenant elle est forte et ferme. Quel privilège! J’ai découvert la joie dans la souffrance, comme dit la Bible: “Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son œuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien.” (Jacques 1:2-4)

Oserait-on parler d’un avant-goût de résurrection dans cette vie? La Bible dit que la résurrection de Jésus et Sa victoire sur la mort ont eu lieu au travers de ses souffrances et de Sa mort sur la croix pour nous et pour notre salut. Puisqu’il en est ainsi, les fruits de Son salut ne devraient-ils pas être évidents en nous et à travers nous, les bien-aimés de Dieu? Gloire à Dieu! Avec ma famille et des amis, j'ai consacré à nouveau ma vie à Dieu!

“Louons Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père qui est plein de bonté, le Dieu qui accorde le réconfort en toute occasion! Il nous réconforte dans toutes nos souffrances, afin que nous puissions réconforter ceux qui passent par toutes sortes de souffrances en leur apportant le réconfort que nous avons nous-mêmes reçu de lui.” (2 Corinthiens 1:3,4, Bible en français courant)

Cette expérience personnelle de souffrance intense causée par une maladie grave et ses complications a profondément influencé mon attitude envers les malades et ma façon de traiter leurs maux. J’estime que c’est une bénédiction de Dieu d’avoir souffert physiquement car cela me permet de m’identifier pleinement aux souffrances des autres. Maintenant, je veux diagnostiquer leurs maladies et les soigner, mais en plus, je veux que les malades sachent que Dieu prend soin d’eux, qu’Il est la source de toute guérison, que l’équipe médicale, les appareils et les médicaments ne sont que Ses dons et que finalement l’attitude juste des patients et du personnel est de dire: "Merci notre Dieu!"

Nous prions pour nos patients et leur offrons des parties de la Sainte Bible qui parlent d’une nouvelle espérance, du but et de la paix de Dieu pour leur vie. Si seulement, au travers de leur maladie, ils pouvaient voir Dieu non seulement comme leur maître et leur juge, mais aussi comme leur Père céleste plein d’amour! Si seulement ils pouvaient goûter la douceur de l’amour et du pardon de Dieu; si leur cœur pouvait être libéré de la colère, de l’avidité, de la convoitise, de la haine et de la vengeance qui entravent si souvent la guérison physique!

“Si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus (le Messie) d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous” (Romains 8:11)

“Et comment en entendront-ils parler, s'il n'y a personne qui prêche?” (Romains 10:14)

Ce livre est un humble effort dans ce sens.

Juillet, 2003
Dr. Ibrahimkhan Omerkhan Deshmukh

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